Back to top

Notre collaboration avec le Chaînon Manquant

1. Qu’est-ce que le Chainon manquant ?

Le Chaînon Manquant est une association qui lutte contre le gaspillage alimentaire en « revalorisant des invendus alimentaires de bonne qualité des professionnels au profit des plus démunis ». Cette association se place comme un intermédiaire en récupérant les invendus alimentaires pour les redistribuer dans un délai court à différentes associations caritatives.

Au-delà d’une lutte contre le gaspillage alimentaire, les actions du Chainon manquant permettent d’apporter une aide aux plus démunis mais aussi de sensibiliser et d’engager les restaurateurs et traiteurs dans la lutte contre le gaspillage alimentaire 

2. Pourquoi collaborer ensemble ?

L’EcoTrail Paris a à cœur de proposer un évènement sportif dont l’écoresponsabilité se trouve au centre de son projet. La bonne gestion des denrées alimentaires ainsi que la minimisation des déchets notamment sur les ravitaillements est donc essentielle.

La collaboration avec le Chainon manquant permet une redistribution des denrées alimentaires non utilisées en fin d’évènement. De plus, le Chaînon manquant propose une action dans un délai très court, respectant ainsi la chaine du froid. Cet élément est un point clé pour EcoTrail Paris puisque les produits des ravitaillements sont à 76% reconnus comme bio, local et de saison (selon la charte GESI) ; conservez leur qualité est donc primordial.


3. 980 repas redistribués à la filière associative

En 2019, 491kg de produits variés ont été récoltés et redistribués aux bénéficiaires, soit l’équivalent de 980 repas !

Concernant la gestion des achats de produits alimentaires, on observe une nette amélioration comparée à l’année 2018 puisque 736 kg de denrées avaient alors été collectées.

4. Objectifs 2020

Pour sa 13ème édition de l’EcoTrail Paris, nous souhaitons continuer cette démarche de minimisation des déchets et de réutilisation des denrées alimentaires.

Comme décrit précédemment, les produits proposés sur les ravitaillements sont majoritairement reconnus comme bio, local et de saison.

Néanmoins, nous nous questionnons de plus en plus sur l’utilisation de certains produits tels que les bananes et les oranges qui nécessitent beaucoup de transport (émission de GES non négligeable), provoquant inévitablement un impact sur l’environnement.

Est-ce vraiment nécessaire de proposer des bananes et des oranges sur les ravitaillements ?
Et quelles alternatives pourraient être proposées ? 
Pouvons-nous changer le comportement du consommateur sportif et modifier ses habitudes alimentaires ?

Voici quelques questions indispensables à la construction de notre stratégie alimentaire en 2020.